lunes, 7 de noviembre de 2016

Répulsion et condamnation de l’Union nationale des Femmes Sahraouis font face à une expulsion forcée et arbitraire des forces d’occupation dont la victime est le vice-président du Parlement Pan-Africain, Suelma Beiruk.

Répulsion et condamnation de l’Union nationale des  Femmes Sahraouis font face à une expulsion forcée et arbitraire des forces d’occupation dont la victime est le vice-président du Parlement Pan-Africain, Suelma Beiruk.
 Les autorités marocaines ont expulsé demain ce même arbitrairement à Suelma Beiruk, vice-président du Parlement panafricain qui a été forcé d’abandonner à l’aéroport de Marrakech et a présenté un vol lié à Casablanca où il a été heures jusqu'à ce qu’elle a été forcée de prendre un autre vol à   Algérie. Suelma Beiruk, vice-président du Parlement Pan-Africain, allait participer pour participer au sommet sur le climat qui s’est tenu à Marrakech de 7 à 18, sous les auspices des Nations Unies.
 L’UNMS à cet acte de violation flagrante des droits de l’homme et la violation flagrante de la réglementation et les traités internationaux et diplomatiques . Les femmes souhaitons exprimer notre soutien et de solidarité avec Suelma Beiruk dénoncent les méthodes et les pratiques arbitraires effectuées par l’occupation des forces, mais aussi nous exigeons l’Organisation des Nations Unies et la communauté internationale qu’ils ont mis la pression sur le Maroc par la violation permanente et systématique contre les sahraouis dans les territoires occupés et à l’extérieur d'entre eux. Nous demandons également l’ouverture des territoires occupés du Sahara Occidental d’observateurs internationaux  afin qu’ils puissent voir la réalité quotidienne de la répression rencontrée par le peuple sahraoui sous occupation marocaine et surtout les femmes sahraouis victimes de la brutalité des forces occupantes. Nous demandons à l’ONU la création d’un mécanisme pour surveiller les droits de l’homme au Sahara Occidental.

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