Nous saluons la ténacité des femmes sahraouis dans la
défense des droits par le biais de résistance pacifica comme un instrument
démocratique de réaffirmer l’identité sahraouie et leur droit à faire valoir l’engagement
de la communauté internationale pour mettre fin à l’occupation militaire
marocain le Sahara occidental, fin au pillage des ressources naturelles dans la
libération des prisonniers politiques sahraouis et de manière illégale, il a
donc exigé diaspora saharaui mais surtout les femmes qui se sont réunis le 16
mars à Genève, au siège l’Organisation des Nations Unies.
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