domingo, 18 de febrero de 2018

Aujourd'hui 18 février est la journée nationale de la mère de sahraoui

. Cette journée est à la mémoire d’une mère, infirmière de Sahraouis qui, dans le cadre de l’exercice de leur profession dans un camp de réfugiés, appelé Um Dreiga (au sud de la République arabe sahraouie démocratique) est tué par des bombes d’Andoain et de phosphore blanc tirant sur les avions de la Invasion marocaine. Ici, une histoire du professeur Gali Zubeir, un survivant du massacre.
Ne pas oublier...
Le massacre de Um Dreiga... Crime impuni, no il a été suivi et toujours impuni.
Aujourd'hui c’est l’anniversaire de la quarante-deuxième des civils marocains bombardements brutales de saharaui, les populations sahraouies de Um Dreiga, qui a tué et assassiné des dizaines de femmes, les enfants et les personnes âgées, qui ont été tuées et blessées à la suite de cette attaque brutale Il a été répété trois jours provoquant une masse de centaines de milliers de civils sahraouis dans leur exode de maisons pour échapper au génocide pratiqué par l’occupation marocaine et qu’il endure encore tel que pratiqué par les Sahraouis civiles contre l’occupation marocaine.

Onze heures de 18 février 1976 quatre navires de guerre 18 avions marocaines tombèrent dans le camp d’un Dreiga, qui concentrent un grand nombre de civils Sahraouis fuyant l’invasion marocaine de mauritani_ et ont été bombardés de phosphore Blanc et le napalm, interdit sur la scène internationale, comme il pourrait témoignent à la Mission de la Croix-Rouge suisse, qui a reçu les blessés .
Le paradoxe est lorsque le pilote qui a bombardé un règlement  Um Dreiga tombe prisonnier et confirme les faits au sujet du bombardement de la Dreiga des Nations Unies après tomber son avion, a reconnu qu’il avait dit ses commandants que la population qui a été bombardé est un pop ation des civils, mais que les ordres de leurs supérieurs qui ont bombardé les terrains de jeux sans hésitation...
Les horribles attentats avec des pompes ont été répétées, les 19 et 20 février, d’une manière perfide à celui laissé des dizaines de victimes et mutilés avec blessures physiques et profondes psychologiques et vivante dans notre mémoire collective 


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