. Cette journée est à la mémoire d’une mère, infirmière de Sahraouis
qui, dans le cadre de l’exercice de leur profession dans un camp de réfugiés,
appelé Um Dreiga (au sud de la République arabe sahraouie démocratique) est tué
par des bombes d’Andoain et de phosphore blanc tirant sur les avions de la
Invasion marocaine. Ici, une histoire du professeur Gali Zubeir, un survivant
du massacre.
Ne pas oublier...
Le massacre de Um Dreiga... Crime impuni, no il a été suivi
et toujours impuni.
Aujourd'hui c’est l’anniversaire de la quarante-deuxième des
civils marocains bombardements brutales de saharaui, les populations sahraouies
de Um Dreiga, qui a tué et assassiné des dizaines de femmes, les enfants et les
personnes âgées, qui ont été tuées et blessées à la suite de cette attaque
brutale Il a été répété trois jours provoquant une masse de centaines de
milliers de civils sahraouis dans leur exode de maisons pour échapper au
génocide pratiqué par l’occupation marocaine et qu’il endure encore tel que
pratiqué par les Sahraouis civiles contre l’occupation marocaine.
Onze heures de 18 février 1976 quatre navires de guerre 18
avions marocaines tombèrent dans le camp d’un Dreiga, qui concentrent un grand
nombre de civils Sahraouis fuyant l’invasion marocaine de mauritani_ et ont été
bombardés de phosphore Blanc et le napalm, interdit sur la scène
internationale, comme il pourrait témoignent à la Mission de la Croix-Rouge
suisse, qui a reçu les blessés .
Le paradoxe est lorsque le pilote qui a bombardé un
règlement Um Dreiga tombe prisonnier et
confirme les faits au sujet du bombardement de la Dreiga des Nations Unies
après tomber son avion, a reconnu qu’il avait dit ses commandants que la
population qui a été bombardé est un pop ation des civils, mais que les ordres
de leurs supérieurs qui ont bombardé les terrains de jeux sans hésitation...
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