miércoles, 17 de enero de 2018

LA MELHFA COMME UN SYMBOLE CULTUREL ET DE LA RÉSISTANCE

Le représentant de l’UNMS au pays Basque, Fatma Issa, a participé l’an dernier à une réunion organisée par le ministère de l’égalité au sein du Gouvernement Basque, avec la participation de différents musulmane et féministe associations féminines.
Essayez de la réunion au sujet de l’utilisation du voile et ses connotations culturelles, religieux, social et politique.
Il est à noter que les femmes sahraouies n’utilisent pas un voile mais une melhfa, un morceau de tissu de 5 mètres qui enveloppe le corps tout entier et de différentes couleurs.
Beaucoup de gens peut voir comme un symbole religieux, spécifiquement musulmane. Mais El-melhfa, avant tout, culturelle et unique pour le peuple sahraoui, qui est utilisé par tous les groupes ethniques et religieux au sein de la population sahraouie.

Cet affichage spécial et unique de la culture a fait de la femme sahraouie tellement une source de beauté et admiration, mais aussi comme symbole de la résistance, mais aussi dans le but de l’oppression. Aujourd'hui, nombreux sahraouis vivent sous le régime répressif du Maroc dans les territoires occupés de notre pays souffrent de répression et discrimination par le maintien de leur costume traditionnel. Et puisque les femmes sont plus visibles avec son coloré, paisible surtout lors de démonstrations sont arrêtées. Systématique d’être fiers de leur identité au service de la discrimination qu’ils vivent au quotidien. Non seulement les femmes sahraouies vivant dans les territoires occupés sont ceux qui utilisent la melhfa comme moyen de résistance. Sahraouis vivant à l’étranger aussi sont fiers de partager ce symbole. Un bon exemple de cette utilisation à l’étranger est l’un de nos célèbres militantes des droits de l’homme, Aminatou Haidar, qui est parfois appelée par le biais de communication « Sahrawi Gandhi ». Elle porte toujours ses efforts melhfa pour transmettre la lutte de son peuple dans le monde, même si cela entraîne un risque contre les forces d’occupation

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